Commémoration. Un an après le décès du directeur de la rédaction du quotidien Le Jour, son souvenir reste vivace dans les pensées. Vivement lundi ! On l’attendait ce jour-là, 13 août 2012. On l’attend toujours, un an après. Il ne viendra pas ? Plus besoin d’attendre il est là tous les jours dans nos cœurs et nous accompagne sur le terrain. Son souvenir est toujours vivace dans les pensées. Il n’y a qu’à voir le nombre de publications et de demandes d’amis enregistrées chaque jour sur la page spéciale à lui dédiée sur Facebook : « StephaneTchakam for ever ! ». Stéphane Tchakam revit sur facebook. Depuis le débute de la semaine, les témoignages pleuvent sur Internet sur la qualité du professionnel qu’était Stéphane Tchakam, le directeur de la rédaction du quotidien à capitaux privés Le Jour, décédé lundi 13 août 2012 à Douala, de suite de maladie. Les amis n’ont pas oublié ce sourire et cette joie de vivre qui animaient le Grand reporter. Son sens du devoir, sa disponibilité et son soutien aux jeunes journalistes ont marqué les esprits. Il est désormais coutume de rencontrer un jeune reporter se venter d’avoir réalisé l’attaque d’un reportage comme Stéphane Tchakam, ou d’avoir réalisé « le genre » de reportage ou « le genre » d’enquête que  « Massa » aimait. Il est terrible cet « esprit ». Même mort, Stéphane Tchakam écrit toujours, ou fait écrire des articles. Un an est maintenant passé. Il convient de garder de l’être cher disparu, les qualités et souvenirs qui peuvent aider à avancer dans la vie. Que devons nous retenir de ce douloureux départ  donc? Témoigner notre amour et la reconnaissance aux personnes proches chaque jour. Aux jeunes reporters, il est sans doute l’occasion de se mettre au travail, afin de marquer son passage sur terre par ses œuvres et sa personnalité. Paix à ton âme Massa. On aura beaucoup appris de toi. Tes déhanchements, tes blagues et ta présence nous manquent. Rip Mathias Mouendé Ngamo