L’offre de l’établissement de microfinance de 2ème catégorie permet aux ménages et aux particuliers d’acquérir ou de renouveler du matériel à usage domestique, personnel ou commercial.

La Nouvelle Financière africaine (Nofia S.A) vient de mettre sur pied un nouveau produit pour faciliter la vie à sa clientèle : le crédit équipement. Cette nouvelle offre est une formule de financement qui permet aux ménages et aux particuliers d’acquérir ou de renouveler du matériel à usage domestique, personnel ou commercial. Il s’agit entre autre du matériel  électroménager, électronique, la climatisation, des groupes électrogènes, des moyens de locomotion (moto et tricycle) et des matériaux de construction.

D’après les caractéristiques du produit, le « crédit équipement » repose sur un intervalle de montants de  prêt allant de 100 000 à 1 500 000 F. Cfa pour une durée maximum de 10 mois. Le taux d’intérêt est fixé à 0% et l’assurance à 2%, entre autres caractéristiques. Le « crédit moto » présente quant à lui des caractéristiques plus spécifiques.

“Un plan de remboursement ajusté”

Pour les  responsables de Nofia S.A, le mode d’emploi du crédit équipement est simple. Il suffit à tout client intéressé de se rapprocher de l’une des agences de cet établissement de microfinance de deuxième catégorie parmi celles répandues sur l’étendue du territoire camerounais.

« Le crédit équipement est personnalisé et s’adapte aux besoins du client. C’est un crédit souple, grâce à un plan de remboursement ajusté et taillé à la situation du client emprunteur. Il permet à l’emprunteur d’acquérir à crédit un bien au prix marchand»,

fait savoir le Top Management de la microfinance.

Pour Nofia S.A, en plus de faciliter la vie à sa clientèle avec cette nouvelle offre, l’entreprise vise aussi des objectifs spécifiques  avec « Crédit équipement ». Il est question pour Nofia de fidéliser les clients et de recruter de nouveaux ; d’élargir la gamme de produits de financement ; d’arrimer Nofia S.A aux principes de la finance islamique qui encourage le partage de risques et des bénéfices entre les contractants.

Mathias Mouendé Ngamo